Pensées IV

 

La vie commence quand on décide ce qu'on attend d'elle.

 

Admirer quelqu'un, c'est reconnaître poliment

qu'il nous ressemble.

Ce n'est pas tellement de liberté qu'on a besoin, mais

de n'être enchaîné que par ce qu'on aime.

L'amour est une étoffe tissée par la nature 
et brodée
par l'imagination.

Se charger de la douleur de
 quelqu'un d'autre, c'est
faire preuve du courage
 le plus altruiste qu'il soit.

Nous sommes ce que nous croyons être 
et ce que les autres
croient que nous sommes.  Mais, ni nous ni personne
n'est capable de dire ce que nous sommes.

Essaie de penser à ce qui compte vraiment. 
 Non pas à l'argent, aux honneurs 
ou aux biens matériels,
                   mais à la façon dont tu aimes ton prochain.

L'avoir n'ajoute rien à la personne.

L'avoir te fait paraître mais, non pas "être".

                      Les blessures du corps se cicatrisent et s'oublient.

                     Les blessures du cœur attristent puis s'estompent.

                    Les blessures de l'âme s'incrustent et demeurent.

Mais, toutes nous aident à grandir.

Quand on laisse parler son cœur;
il n'est pas nécessaire
de choisir ces mots.

On ne voit bien qu'avec les yeux du cœur.

L'essentiel est invisible pour les yeux.

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